Un article scientifique inaperçu de 2021 démontre que la distribution d’ARNm basée sur les points quantiques de graphène (GQD) peut répondre à divers stimuli tels que les ultrasons, les champs magnétiques ou la lumière.
Edité par Chemistry Europe* par des scientifiques de plusieurs pays, cet article du 7 avril 2021 constate un intérêt croissant pour l’utilisation de l’ARN messager thérapeutique, associé à des systèmes d’administration de médicaments. Car, si l’ARNm nu, c’est-à-dire non reformulé, est incapable de traverser la membrane cellulaire, écrivent les auteurs de l’article, la situation est tout autre lorsqu’on utilise des points quantiques de graphène modifiés (GQD), c’est-à-dire des nanocristaux semi-conducteurs.
Une classe de médicaments prometteuse (selon les auteurs)
« Ces dernières années, les points quantiques de graphène (GQD) sont apparus comme une plate-forme intéressante pour les applications biologiques, notamment la biodétection, l’imagerie biomédicale et l’administration de médicaments », affirment les scientifiques. « Cela est dû aux divers attributs souhaitables des GQD : dispersibilité, bonne biocompatibilité, grande surface spécifique, stabilité colloïdale et structure de surface réglable. De plus, les GQD sont capables de répondre à des stimuli physiques, tels que les champs magnétiques, les ultrasons et la lumière. Ces caractéristiques de réponse uniques permettent un contrôle précis de la libération du médicament. Cela fait des thérapies basées sur l’ARN messager (ARNm) une classe de médicaments prometteuse.
Les apprentis sorciers à l’affût
Il est vrai que nous pouvons et devons fournir de meilleurs soins aux malades en utilisant une technologie de plus en plus sophistiquée. Mais aussi de plus en plus inquiétant s’il venait à tomber entre les mains de savants fous ou d’apprentis sorciers, toujours aux aguets. Il serait alors possible d’agir à distance sur les individus, peut-être pour les guérir, peut-être pour les asservir. Une science sans conscience…
Selon le Dr Jean-Marc Sabatier, il s’agit d’une approche au potentiel énorme et tout à fait exceptionnel pour véhiculer divers types de molécules dans les cellules, comme les ARNm dits « vaccinaux ». Dans ce cas, il serait théoriquement possible de s’affranchir de la présence de nanoparticules lipidiques, qui protègent les ARNm de la dégradation et réduisent la réponse immunitaire innée (hyper-inflammation induite par ces ARNm). Dans le même temps, les nanoparticules lipidiques favorisent la pénétration de l’ARNm dans les cellules, où elles sont traduites en protéines correspondantes par la machinerie cellulaire (ribosomes).
Néanmoins, le Dr Sabatier considère cette approche comme effrayante car extrêmement dangereuse et incontrôlable pour l’organisme humain, en raison des nombreux effets indésirables potentiellement associés à leur utilisation (dus aux nanocristaux semi-conducteurs d’ARNm et/ou GQD qui possèdent des propriétés électroniques/optoélectroniques uniques et inattendues). propriétés). Grâce à leur petite taille (inférieure à 100 nanomètres, mais généralement comprise entre 2 et 10 nanomètres), ces points quantiques de graphène (GQD) sont soumis à des effets de mécanique quantique incontrôlés, notamment au sein d’un organisme vivant dont le fonctionnement est particulièrement complexe et sensible aux « influences externes ». » éléments. Pour ce chercheur, il s’agit d’une approche expérimentale en terrain inconnu, tout aussi dangereuse pour la santé humaine que les ARNm auto-amplificateurs et trans-amplificateurs actuellement développés (sans aucun a posteriori) par de nombreux laboratoires pharmaceutiques, notamment contre le SARS-CoV-2. Le plus grand danger vient aussi de la possible manipulation – bienveillante ou malveillante – des molécules associées aux GQD, par divers stimuli physiques externes.
*Fondée en 1995, Chemistry Europe est une association de 16 sociétés chimiques de 15 pays européens. Elle publie une série de revues scientifiques de grande qualité dans le domaine de la chimie, couvrant un large éventail de disciplines.
Un article effrayant (2021) :
« Distribution d’ARNm basée sur des points quantiques de graphène (GQD) ».
Ces GQD modifiés délivrent un ARNm intact aux cellules.
Les GQD peuvent répondre à divers stimulis (ex : champ magnétique, ultrasons, lumière).#arnm
– Sabatier Jean-Marc (@SabatierJeanMa1) 5 février 2024
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